Une pensée pour Eunice, ma fille
C’était hier ton anniversaire et je n’ai pas appelé
Pour te chanter comme avant le joyeux anniversaire.
C’est vrai que je n’ai appelé, mais je n’ai pas oublié,
Car, dans mon cœur tu gis mieux plus qu’une aire.
Tu m’appelles papa, et moi, tu es ma princesse
Tu étais toujours si douce et de ta voix sans cesse
Tu voulais une poupée, une poupée au nom de Barbie
Toi qui vivais loin de moi dans ce lieu inconnu à Babi
Tellement j’aurais voulu te porter sur mes épaules
Tant je voulais tenir ta main quand je marche
Tout seul dans les rues vides de cette vaste métropole
Où tout est calme, silence, méfiance et pure dèche
Ce soir, quand je t’appellerai tu riras au gré du son,
Toujours comme au premier jour de l’âge
Belle et noire, de ce sourire qui ôte ma rage
Rage de t’avoir aimée une fois et pour de bon
Où étais-tu papa, quand tu avais promis appelé ?
Pourquoi suis-je resté éveillée à attendre ton nom
Et n’as-tu pas tenu ta promesse comme libellée ?
Pourtant moi j’ai attendu pour revoir ton don
Plaine
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